Drek'thar erre dans la ville

Drek'thar était de passage dans la capitale des Hommes, sa dernière mission s'était avéré paritculièrement dangereuse, il y avait perdu tout son équipement.
Perdu dans ses pensées, il réfléchissait à ce qu'il ferait ensuite et marchait lentement, sans but particulier...

C'était un jour de marché, et de nombreux étalages de fruits, de cuir et d'onguents s'étalaient de chaque côté de la rue.
Au loin, on distinguait le montreur d'esclaves et ses fabuleuses danseuses.
Un éclat argenté attira l'attention de Drek'Thar, une épée étincelait sur l'étalage du forgeron.

Intrigué, Drek'thar s'approcha.
*Un peu d'équipement me serait bien utile* pensa-t-il.

(on fait comme sur KuF ? ou le joueur peut décider un peu de ce qu'il voit ?)

(Tu décides de tout ce que ton personnage fait / dit / pense.
Mais pour l'instant, tu débutes, tu n'as donc pas d'argent. )

Drek'Thar vit des dagues, des cimeterres, toute sortes d'épées, de poignard, des dagues.
Mais aussi des haches d'armes, des flèches, des heaumes, des plastrons.

Ce forgeron faisait preuve d'un certain savoir faire.

Au bout d'un moment, Drek'Tar se rendit compte que le forgeron l'observait d'un oeil soupçonneux : "-Que veux-tu??', lui demanda-t-il

(donc on fait comme sur KuF, le joueur ne peut pas décider par exemple dans ce cas-ci de ce qu'il y a à vendre)

Les articles semblaient de bonne qualité, mais rien ne plaisait vraiment à Drek'thar.
- Je cherche des armes, avez-vous quelque chose de plus... spécial ? répondit-il au forgeron.

-Spécial, répéta le forgeron d'un air troublé...

Il montra à Drek'Thar un instrument, qui semblait être un outil de torture.
Une manivelle permettait de resserer petit à petit deux points acérées.

Il sortit ensuite une lourde hallebarde, qui était dissimulée sous son étalage, elle mesurait près de 2 mètres 50 !!

-"Si cela ne vous convient pas, conclua-t-il, il me faudrait une description plus précise de ce que vous nommez "spécial"...Voulez vous dire "magique" ?

Les articles qu'il sortit surprirent un peu Drek'thar !
- Je cherche une épée. Deux si vous avez... La magie n'est pas nécessaire, je cherche seulement des armes qui... sortent de l'ordinaire...

(voici ce que je cherche, avec une chaîne qui part de la poignée pour pouvoir balancer l'épée sur les ennemis)

Le Forgeron se gratta la barbe.
Il sembla réflechir, au bout de quelque secondes, il fit un signe à un garçon, qui se tenait près de lui, et que Drek'Thar n'avait pas remarqué.
Le garçon fila aussitôt.

-"Je vais vous montrer des armes qui ont été faites par mon père.
Elles doivent être un peu rouillées ou ébrechées, mais je pourrais vous les réparer facilement."

Il regarda vers la boutique, et aperçut le garçon qui revenait d'une boutique située à quelques mètres de l'étal, avec une lourde malle.

A ce moment là, un jeune homme richement vêtu arriva devant le forgeron, il bouscula Drek'Tar et se placa face au forgeron :

-"Bonjour, ami forgeron, je...

- Eh !! lança Drek'thar à son encontre avant de le pousser avec la main !
- J'étais là avant !

-"Taisez-vous jeune homme, vous ne savez pas à qui vous avez à faire !! Je suis le fils du Vicomte"

- Et vous croyez que ça me fait peur ?
Drek'thar éclata de rire.

Le forgeron fit un sourire mielleux : "allons, jeune homme, ne faites pas de caprices. Que puis-je pour vous monsieur ?"

(J'y vais, désolé..c'est urgent !!)

(ok @+)

- Grmph ! grogna Drek'thar.
Drek'thar croisa les bras et attendit, après tout il valait mieux ne pas faire d'histoires s'il voulait obtenir ce dont il avait besoin.

(EDIT : j'ai une image plus jolie pour mon épée )

(Il faut que tu remplisses la feuille de personnage (voirMPs) )


Le forgeron commença à chercher dans son étal, en rassemblant diverses pièces d'équipements, dont la plupart étaient en or ou en argent.

Lorsqu'il eut fini, il déposa le tout devant le Vicomte.

A ce moment là, un second homme bouscula Drek'Thar, puis le Vicomte.
Il s'excusa, s'inclina très bas, et s'en fut, l'air apeuré.

==>Test de perception avec un bonus double

(Tu lances un D100 = 2 x D10 et tu dois faire moins que le double de ta perception)

(c'est fait)

Drek'thar commençait à être vraiment énervé qu'on le bouscule sans arrêt mais encore une fois, il garda son calme et patienta.

(EDIT : moins que le double ??)

Le membre Drek'thar a effectué l’action suivante : Lancer de dés

2 fois
Résultats :
   

(et ben poutain, t'as un score de malade !! 13 est en dessous de 72, test réussi )

Alors que le Vicomte se plaignait devant le forgeron, de la mauvaise éducation des jeunes, de nos jours...Drek'Thar s'aperçut que la bourse de celui-ci avait disparu !!

( ah d'accord, tu mets les deux chiffres ensemble pour donner le résultat )

Cette situation amusa Drek'thar, et vu le comportement du Vicomte, il ne comptait pas l'aider et fit semblant de ne rien avoir vu.
Drek'thar n'avait, en plus, pas d'argent et ne possédait rien, il ne s'inquiéta donc pas de sa propre bourse et continua d'attendre que le Vicomte s'en aille.

Au bout de longues négociations, le Vicomte paru satisfait.
Il mit la main à sa bourse, pour payer ses achats, et tourna son regard vers Drek'Thar.

Il fit un signe, et deux gardes saisirent celui-ci par derrière :
-"Fouiller le, ordonna le Vicomte, cette vermine m'a volé ma bourse !!"

- Moi ?? Je n'ai rien fait !! lança Drek'thar.
- Moi aussi j'ai été volé ! Et si j'étais le voleur, vous croyez que je serais resté là ??
En attendant leur réaction, il lança un regard discret vers le forgeron, pour voir s'il l'aiderait.

Le forgeron ne dit rien, le Vicomte paraissait être un homme important.
Au bout d'un moment, les deux gardes lâchèrent Drek'Thar : il n'a rien, dirent-ils.

Le Vicomte s'en fut alors, avec un regard chargé de haine pour Drek'Thar.

Le forgeron toussa...

Drek'thar épousseta ses vêtements avec sa main, lança un regard au Vicomte qui s'en allait puis se retourna vers le forgeron.
- Bon, où en étions-nous ?

Le forgeron lui lança un regard étrange, puis lui montra la malle.
"je voulais vous montrer ceci..."

Drek'thar, intéressé, s'approcha.
*Allez, ouvre cette fichue malle !!* pensa-t-il.

Le forgeron ouvrit la malle.
Elle contenait deux bracelets de force en cuivre, très ouvragés, ces fameux bracelets qui permettaient à leur porteur de frapper sans avoir mal aux poignets.
Il y avait aussi un bouclier, étrangement fin, mais à l'air très solide, et, tout au fond de la malle, deux dagues de taille imposantes, reliées entre elles par une solide chaîne qui parraissait faite d'argent.